Les œuvres machiavéliques et les mensonges éhontés contre Mahamadou Bonkoungou, PDG du Groupe EBOMAF
Les adversaires et les ennemis du Président Directeur Général du Groupe EBOMAF Mahamadou Bonkoungou sont de nouveau de retour avec leurs œuvres diaboliques comme ils savent bien le faire. Après une première vidéo sur la voie de contournement qui s’est soldée par un échec cuisant, ils reviennent à la charge avec des accusations mensongères et diffamatoires montées de toutes pièces pour tenter encore de salir la réputation du richissime homme d’affaires burkinabè avec la diffusion d’un élément audiovisuel. Un véritable torchon qui révèle la misère morale et intellectuelle de ses auteurs. De quoi s’agit-il ?
Lors du Conseil des ministres du 1 er mars 2023, le gouvernement du Burkina Faso a, d’une part, donné une garantie souveraine de près de 270 milliards de francs CFA à IB Bank, la Bank d’EBOMAF, et d’autre part, a autorisé la cession des mines de manganèse de Tambao et d’or d’Inata, à deux sociétés turques.
Il n’en fallait pas plus pour que les détracteurs du PDG Mahamadou Bonkoungou trouvent là du pain béni pour entrer dans leurs laboratoires obscurs en vue de mener une campagne de propagande outrancière. Mais échec et mat car la garantie souveraine est une garantie qu’un Etat accorde à une banque dans le cadre de besoins à satisfaire dont les coûts sont très élevés. Dans le cas d’IB Bank, l’Etat burkinabè veut procéder à l’achat de matériel qui coûte excessivement cher. Le fournisseur accepte de faire les livraisons à crédit mais exige une garantie. IB Bank est sollicitée pour aider l’Etat. Une lettre de garantie doit accompagner le processus. Ladite lettre de garantie nécessite une garantie de l’Etat. C’est ainsi que le gouvernement a donné à IB Bank une garantie souveraine. La garantie souveraine est donc une opération tripartite pour répondre à des besoins précis. Beaucoup de gouvernements ont recours à la garantie souveraine pour mener des opérations dans le cadre du fonctionnement des services de l’Etat. Rien de nouveau sous le soleil.
Quid de la cession des mines de Tambao et d’Inata ? Elle ne concerne pas EBOMAF. Selon des sources crédibles, la cession des deux mines est le fruit d’un accord avec des sociétés fournisseurs. Il ne s’agit pas d’un don mais d’une cession à titre onéreux. Les coûts seront discutés avec le ministère des mines. Les Turcs promettent de sécuriser et d’exploiter les mines aux conditions prévues par le code minier en vigueur au Burkina Faso.
L’information selon laquelle les sociétés turques sont basées à Lomé est totalement fausse. Il y a sans doute une confusion avec une société togolaise dénommée Afro Turc qui n’a rien à voir avec les deux sociétés turques qui ont bénéficié de l’accord de cession. Du reste, la société Afro
Turc du Togo a un capital d’ Un million de francs CFA (1.000.000). Le PDG du Groupe EBOMAF, Mahamadou Bonkoungou, est multimilliardaire et ne va jamais créer une société avec un capital d’ Un million de francs CFA ( 1.000.000) pour gérer des mines.
La cabale contre EBOMAF est visiblement manifeste. Les auteurs se sont simplement lancés dans une entreprise de désinformation et de dénigrement pour tenir l’image d’un homme et d’un Groupe qui font la fierté du Burkina Faso. Mais les Burkinabè ne sont pas dupes et ne mangent pas de ce pain-là.
Le PDG Mahamadou Bonkoungou reste serein et imperturbable . Et comme toujours, le chien aboie, la caravane passe.
En tout état de cause, le gouvernement doit urgemment communiquer sur ces deux décisions prises en Conseil des ministres du 1er mars 2023 pour donner l’information juste à l’opinion nationale et internationale afin d’éviter que des pêcheurs en eaux troubles se lancent dans de sales besognes de manipulation pour des desseins funestes contre EBOMAF.
Toutefois, il est bon de savoir que toute bénédiction dans la vie d’un homme attire toujours la colère du Diable.
Mohamed Rachid Sawadogo